Cette série en cours a été réalisée sur plusieurs années entre 2016 et
2020 regroupant des portraits de personnes que j’ai pris en photo à
la volée. Il y a toujours de manière inconsciente, à travers mes photographies, une influence formelle à la peinture d’Edward Hopper
notamment dans la peinture Summertime peint en 1943. Les similitudes
que l’on peut retrouver sont des personnages mélancoliques qui
sont isolés d’un contexte sociale et se retrouvent la plupart du temps
seuls et méditatif. J’essaie par l’attitude de celui pris en photo et par
le regards hors champs a inviter et amèner le spectateur à se projeter
et à s’identifier. On retrouve aussi des influences à la peinture
romantique allemande et flamande du XIXe siècle notamment chez le
peintre Caspar David Friedrich où
représente la plupart du temps unepersonne de dos fixant et contemplant vers l’horizon. Chaque protagoniste semble enfermé dans leur propre réflexion. La disruptivité sociale enclein à des phénomènes de brusque accélération, reflète ce que les personnages me renvoie comm des bouleversements apportés par l’accélération du numérique, au sei d’une société et qui entraînent une perte de repères chez les individus. Cette série résulte alors d’un état que l’on ressent tous qui nous submerg et témoigne d’une abscence communicative entre chaque sujet.
Cherchant à combattre la déshumanisation du monde afin de ne pas subir une solitude déterminé et prédéfini ...